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Notre vie la-bas
14 septembre 2006

Ces gens-la

Elle met mes courses en sac.
Il fait le menage de notre laboratoire.
Elle accueille les clients d'un "Hi, How are you", et les salue d'un "Have a good day"
Ils sont les egeries de campagne de pub "to end elder homelessness" et "we wanted to remain in our home"

Ils, elles ont 65, 70 ans...peut-etre plus?

Chaque fois, je pense a mes grands-parents, et je me repete combien nous sommes chanceux d'avoir un systeme social qui ne les laisse pas (trop?) de cote.

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Commentaires
M
C'est rassurant de savoir que c'est parfois un choix et non une necessite...
G
A San Francisco, nous avons eu pendant des années un vieux facteur, devenu au fil du temps un très très vieux facteur aux yeux plus très clairs. Au début, il apportait les deux sacs de l'immeuble, ensuite, il les traînait, puis les trainait l'un après l'autre. Après il a confondu pour les numéros des boîtes les 5 et les 3, les 8 et les 6. Il se disait incapable moralement (c'est ce qu'il disait!) de s'arrêter. J'ai toujours été surprise du respect, de la patience et de l'estime omni présents de tout ce monde aisé et speedy dont il distribuait le courrier et qui presque tous les jours devait rendre une partie du courrier du voisin. Un jour il a disparu. Il paraît qu'on l'a réformé d'office.
M
c'est tres gai ta page ,marine vraiment ,quand on est comme moi a une petite dizaine d'annees du 3eme age ,on se sent de suite reconforte en lisant tout ca.....mais ne compte pas sur moi pour mettre tes courses dans le sac et encore moi sue papa pour faire du menage ou que se soit
M
je vous ecoute les amis, et je vous conseille d'aller faire un tour la:<br /> http://prumtiersen.typepad.com/journal/2006/09/notre_socit_veu.html#comments
R
Ben oui... la détresse des personnes âgées. Fallait penser à ça plus tôt alors ! Et la détresse des jeunes ! Et la détresse des autres ? Ah ma chère Marine, beaucoup de mal en ce bas monde. Et chacun cherche à y survivre. Un rien étonne près de chez soi, après, on relativise. Point trop je l'espère.
Notre vie la-bas
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